Régulièrement, les médias nous montrent en exemple une famille « monoparentale », mot bien pratique pour désigner le plus souvent une famille où la mère élève seule ses enfants. Le dernier cas que j’ai entendu : une femme seule avec quatre enfant qui se débat pour vivre dignement avec un salaire de misère (elle fait quelques ménages). On appelle ça la précarité, la réalité est souvent sordide.
Où est le père ? Où est la pension alimentaire ?
Si les 4 enfants sont du même père et si le père est décédé alors il est injuste que la femme ne soit pas mieux aidée.
Si le père est vivant, la mère ne devrait pas devoir s’escrimer seule pour élever leurs enfants.
S’il y a plusieurs pères, chacun devrait être mis à contribution.
Sauf si ces pères l’ont été malgré eux, piégés en quelque sorte. Alors on devrait apprendre aux femmes la contraception. Et bien leur dire qu’on ne retient pas un homme en lui faisant un enfant.
Mais le politiquement correct ne nous donne pas le droit de savoir qui sont les pères des enfants de ces femmes vivant dans la misère – et si braves ( ?) - ni pourquoi elles ont fait ces enfants.
mercredi 20 janvier 2010
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